Un breton d’une cinquantaine d’années, après un tchat avec une Ivoirienne, s’est fait arnaquer 6000 euros, récit de son histoire!
L’histoire remonté à l’été dernier, ce célibataire quinquagénaire de Bretagne commence à tchater avec une magnifique ivoirienne de 30 ans. Avec son corps de mannequin, elle le chauffe un peu car elle semble plus attiré par le coté charnel. La victime déclare «Elle m’a donné son numéro de téléphone: elle voulait me rencontrer physiquement…». Malheureusement il «a le malheur» de lui donner ses deux numéros de téléphone (mobile et fixe). L’histoire aurait pu être belle mais ces quelques minutes de conversation vont engendré plusieurs semaines d’enfer. En effet le lendemain, il reçoit un mail. Dans ce message, un procureur de la République, à Abidjan, photographie en uniforme militaire à l’appui écrit que le célibataire breton : «Il m’écrit qu’en face de moi, j’avais eu affaire à une fille âgée de 8ans». Et que ses parents de la mineure vont engager des poursuites à son encontre!
Pour passer éviter une procédure judiciaire selon ce représentant du parquet abidjanais, est de 5000 euros, en cash, via WesternUnion, à une adresse de la capitale économique de la Côte d’Ivoire. Le célibataire breton le fait sans rechigner, après avoir reçu une autre relance.
Cette fois-ci, un «document officiel» des services de la garde des Sceaux Michèle Alliot-Marie, selon lui, lui est adressé. Il déclare : «J’ai paniqué». De plus, il n’arrête pas de recevoir des appels téléphoniques du procureur abidjanais, d’un autre «juge» et même de «l’ambassadeur de France». Il reçoit encore un email, là c’est des enquêteurs africains ont bien décelé une arnaque. «Pour récupérer mon argent, je devais payer 1000 euros». Toujours en espèces, encore par mandat. Il s’acquitte de cette somme (on a vraiement des doutes sur la victime, il doit être de la famille de Régis) mais des doutes apparaissent : «Je commençais à en avoir marre». Il se décide à déposer plainte à la gendarmerie du coin, qui confirmera l’escroquerie. Les gendarme indiquent à la victime qu’il aurait vraiment du se méfier car tout courrier émanant du ministère de la Justice est envoyé en recommandé et non par email.
Au final, la note dépasse les 6.000 euros en comptant les frais engendrés. Je pense qu’il aurait pu utiliser ses 6000 euros pour se payer des filles bretonnes qui « travaillent la nuit », au moins il n’aurait pas était que soulagé de 6000 euros!!!